Bernard, Peggy, Patrick et Luc
La deuxième salve tirée, restent quatre soirées et deux matinées de pur bonheur avec un public souvent participatif, toujours chaleureux, et un cadeau pour chacune des deux dernières séances.
Samedi, nous avons eu en effet le plaisir d’avoir parmi nous un protagoniste important des « Fragments de Nice » : « celui qui avec son bon cœur a capacité à embrasser toutes les causes, même et surtout quand elles sont désespérées », témoignant ainsi de « sa tendresse particulière pour le lumpenprolétariat tendance babacool ». Il s’agissait bien sûr de l’homme de l’amphi 200… le désormais célèbre Luc !
Dimanche, c’était au tour d’Henri Legendre de nous honorer de sa présence. Henri, celui qui n’avait pas hésité, il y a quelques années, à prendre le risque de programmer dans sa salle du boulevard Carabacel les « Fragments » d’un auteur parfaitement inconnu sur le plan littéraire et peut-être trop connu sur le plan politique.
Quand Bernard, le complice de toujours, a prononcé les derniers mots de la dernière réplique, quand Peggy, la révélation du spectacle, a entamé le dernier couplet de la dernière chanson, prenant le contre-pied de Raïna, l’héroïne de « Pourquoi si tard ? », j’avais envie de dire : pourquoi si tôt ? Et vous êtes nombreux à m’avoir dit partager le même sentiment.
P.S. : Vous avez apprécié le talent de Peggy Précheur. Sachez que cette jeune femme est « dans le civil », DJ-chanteuse-animatrice. Pour l’avoir vue travailler de nombreuses fois, je peux attester qu’elle excelle dans son métier (un tiers Cathy Guetta,un tiers Florence Foresti,un tiers Zaz). Aussi, si vous avez besoin de ses services, n’hésitez pas à la contacter (peggyprecheur3@yahoo.fr 0673739945).