01 avril 2011

"Je n'ai pas de plan de carrière politique !"


Dans le Petit Niçois de cette semaine, je suis interviewé par Pascal Gaymard.

6 commentaires:

Emmanuel a dit…

Belle photographie! Ce n'est pas un plan de carrière mais c'est une vocation. Patrick, ami de la politique, nous te suivrons dans tous tes futurs combats...

Anonyme a dit…

Mais c'est tout simplement fabuleux de ne pas avoir de plan de carrière politique, c'est tout ce qui fait ta vraie valeur, tes qualités d'homme de terrain, tes facultés d'adaptation hors du commun aux difficultés de ton canton, qui requièrent une grande expérience et un talent certain, nul besoin de plan pour être l'ami de la politique en restant humain, mais ce n'est pas donné à tout le monde, et c'est tellement beau de le dire en toute simplicité, çà dégage une force extraordinaire qu'on a envie de partager. Il a raison Manu, nous te suivrons dans tous tes combats.
En clin d'oeil à une certaine (re)mise en selle qui a déjà suscité pas mal d'imagination, je verrais bien Patrick en Lucky Luke (version moderne sans la clope, le semi approche !) chevauchant son fringant destrier Jolly Jumper à la conquête de sa belle Province qui ressemblerait un tantinet au cinquième canton... et moi en Rantanplan l'œil un peu en berne dans le blues de l'après campagne !
Isa

bernard gaignier a dit…

Arrétez les copains bientôt on va parler du grand leader charismatique qui nous montre la voie vers un univers radieux ou jamais aucune larme ne sera versé, où les pierres seront douces les pentes applanies....;Bientôt vous allez lui demander l'apposition des mains pour guérir les écrouelles!

cléo a dit…

J’ai appris un mot ! Et alors, pas sûre que les fistules purulentes localisées sur les ganglions lymphatiques du cou, ne le fassent pas tourner de l’œil. Une preuve rassurante qu’il est humain…

Emmanuel a dit…

On prétendant que le sacre pouvait donner aux rois de France le pouvoir de guérir la maladie des écrouelles par simple apposition des mains sur le corps du malade. On donnait aux monarques des pouvoirs thaumaturgiques (voir le livre de l'immense historien Marc Bloch sur les rois thaumaturges)qui les rendaient différents du commun des mortels. La mort de Louis XVI rappelle à tous l'humanité de ces individus. Il faut que nous comprenions enfin que les hommes politiques aujourd'hui ne peuvent plus faire la pluie et le beau temps...

Anonyme a dit…

Quel rabat-joie ce Bernard ! Nonobstant notre enthousiasme sans doute dû à des restes d'euphorie de campagne...et les qualités démocratiques de Patrick qui ne se prend pas pour un monarque, je précise que nous ne sommes pas encore atteints d'écrouelles fort heureusement, que seul le virus de la conviction et de la participation nous a contaminés, et que tout antidote à cette contagion serait superflu et dommageable à nos futures actions en partage avec notre dynamique et passionné meneur de troupes. Isa