A l'arrivée, avec Antoine
Disons-le tout net : ce fut parfait.
Tout d’abord, parce que j’ai eu le sentiment de courir « juste » pendant les presque treize kilomètres, sans indolence coupable ni surrégime.
Ensuite, pour ce record battu de… 48 précieuses secondes en terminant sur les talons de Clotilde qui – je balance – bénéficie désormais d’un lièvre de luxe, un certain Juju, jeune et prometteur, qui aurait un lien de parenté avec elle !
L’ambiance entre participants et la ferveur des supporters étaient également au rendez-vous de l’édition 2010. Avec une mention particulière aux deux éclopés du peloton : Antoine (dont on peut aller lire l’intéressant blog qui sera désormais référencé ici), qui avait tenu à faire la course sur une jambe, et Véronique, forfait, qui nous a permis de mieux supporter les solitude du coureur de fond sur le canal.
Ajoutons, pour compléter le tableau, que les bénévoles chargés de l’organisation furent adorables, comme chaque année.
Mais l’image du jour sera pour moi celle de la conseillère générale du 7e canton remettant des coupes à nos deux championnes, Bérengère et Clotilde, présentes sur les podiums de leurs catégories. Il me semble toutefois avoir remarqué sur les lèvres de Laurent un petit air goguenard… Il est vrai qu’avec moins d’une heure et cinq minutes, il avait fait le meilleur temps de nous tous, même si les hasards du règlement et de l’état civil ne lui permirent pas d’avoir sa coupe.
3 commentaires:
ce fut un grand plaisir que de soutenir mes amis du canal! un grand bravo pour ce record battu!
Bravo Patrick... et les autres. Belle jeunesse !
J'ai choisi il y a deux semaines un Paris-Versailles qui, contrairement à Gairaut, s'inscrivait bien dans ma préparation au Marathon où nous nous retrouverons même si ce n'est pas sur les podiums.
Moi j'ai entendu les gamins d'Antoine l'encourager dans la descente! Et c'était TRES rigolo! :))
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