La course à pied est une école d’humilité. Au départ de ma troisième Prom’Classic, j’étais persuadé de battre facilement mes performances de 2008 et 2009. En réalité, j’ai dû batailler ferme pour améliorer mon record de seulement… 26 secondes (54’06 en temps officiel et 53’37 en temps réel). L’honneur est sauf mais de justesse.
Cela dit une fois de plus la fête fut réussie.
A commencer par les retrouvailles avec l’équipe du CG à la Maison du Département avec Cathy (et son inaltérable bonne humeur), Bertrand, Benoît (nous terminerons tous les trois dans un mouchoir de poche) et les autres.
Au départ, je n’ai pas eu le temps de regretter l’absence de Laurent et de Clotilde pas encore rentrés de Madagascar que j’avais déjà le plaisir de retrouver Gilles, un autre globe-trotter, de retour du Brésil la veille au soir.
Peu de chose à dire sur la course elle-même qui, sous un ciel plombé, se déroula trop rapidement pour me permettre d’emmagasiner rencontres et anecdotes. Juste une petite contrariété : un peu avant la mi-course un concurrent me demande avec l’assurance de ceux qui savent si j’avais « un polar »… Interloqué je me suis longuement interrogé sur le fait de savoir si ce jeune homme était un amateur de romans policiers en manque ou un apprenti alpiniste frôlant l’hypothermie avant de découvrir à l’arrivée que je n’étais pas encore un vrai pro de la course de fond.
Pour conclure un mot sur deux perfs. Celle de Claudio (51’) qui désormais partage ses loisirs entre deux activités : la semaine il bougonne sur son blog et le dimanche il explose les chronos… Bravo aussi à l’autre concurrent « autrement », Laurent Flipo et à son stratosphérique 46’09. Si une méchante langue vous glisse au creux de l’oreille que son jeune fils encore cadet a fait mieux(43’) surtout de l’écoutez pas… Parce que c’est vrai !
Cela dit une fois de plus la fête fut réussie.
A commencer par les retrouvailles avec l’équipe du CG à la Maison du Département avec Cathy (et son inaltérable bonne humeur), Bertrand, Benoît (nous terminerons tous les trois dans un mouchoir de poche) et les autres.
Au départ, je n’ai pas eu le temps de regretter l’absence de Laurent et de Clotilde pas encore rentrés de Madagascar que j’avais déjà le plaisir de retrouver Gilles, un autre globe-trotter, de retour du Brésil la veille au soir.
Peu de chose à dire sur la course elle-même qui, sous un ciel plombé, se déroula trop rapidement pour me permettre d’emmagasiner rencontres et anecdotes. Juste une petite contrariété : un peu avant la mi-course un concurrent me demande avec l’assurance de ceux qui savent si j’avais « un polar »… Interloqué je me suis longuement interrogé sur le fait de savoir si ce jeune homme était un amateur de romans policiers en manque ou un apprenti alpiniste frôlant l’hypothermie avant de découvrir à l’arrivée que je n’étais pas encore un vrai pro de la course de fond.
Pour conclure un mot sur deux perfs. Celle de Claudio (51’) qui désormais partage ses loisirs entre deux activités : la semaine il bougonne sur son blog et le dimanche il explose les chronos… Bravo aussi à l’autre concurrent « autrement », Laurent Flipo et à son stratosphérique 46’09. Si une méchante langue vous glisse au creux de l’oreille que son jeune fils encore cadet a fait mieux(43’) surtout de l’écoutez pas… Parce que c’est vrai !
Concentré... (photo DBM) ou dubitatif... (photo Jalila)
9 commentaires:
Je vois que l'on progresse à chaque course Monsieur Mottard félicitations, très fière de vous!
Merci votre récit est comme d'habitude fabuleux.
Bonne soirée, à bientôt dans un mois j'espère Nice Monaco.
Cathy CG 06
je suis fièr de toi chef!
Depuis les contrés enneigées, je ne puis que te féliciter, mais promis, je me mets sérieusement au régime, j'arrête comme prescrit le chocolat, le fromage, la charcuterie, l'alcool, et commence l'entraînement... Bon, je commence par le chocolat...
C'est au retour d'un aller qui aurait pu être sans retour, (que faisais-je donc à Genève?! Les routes elles-mêmes et non les roues glissantes sur la chaussée) distancée on ne peut plus aux yeux de la sécurité, que je découvre à la une de votre blog et à la va- comme je vous é-vite, au détour d'une phrase, en phase sans l'avoir été, toujours, le présent qu'est, inconjugable, les deux-trois perles d'un texte dont l'élan témoigne une fois de plus sans être de trop, combien, non, comment! Et ce malgré les scores, il ne suffit pas de compter pour courir à point mais de conter pour passer d'une étape l'autre, le témoin, et… dans la belle suspension circulaire…. terminer la boucle ainsi que se poursuivent les mots qui trouvent, quoi qu'on en dise! Ah oui... désormais tous leur place. Voilà qui nous ferait louer la terre entière à défaut d'un permis voiture ! Et si…, permettez que je me com-permette, à l'égard de ceux qui mobilement entendent ou n'entendent rien, selon les statistiques, en visant à la posséder, avait glissé aussi avec les routes, le sens : Faudrait-il être aveugle pour ne point deviner entre filet, quoi?! un mal dedans sporadique? Qui? » Il a de l’entre-dents et pas seulement des jambes » glissa un conseiller en com’ classic , pour ainsi promener sans laisse les grandes lignes agitées de demain. Et pour ne point crier: "vite! Une couronne! "Joyeusement aller fêtant la multiplicité des rois avant que la fève nous gâte le palais sur le terrain de l'uniquité dont s’est munie l’ici pâlité. Pour contexte : gardant la ligne droite entre Nice et Genève, je perdis repères au retour, entre chianti et …chianti aussi, et fatalement la boussole, lorsque j'appris que le parcours devait en cours de route changer de direction. Faible des banques sur la route, à moins que ce ne fut forte bivouaquant querouaquant mal en- bon an (au passage…) je chantais pour m’encou-rager de l’extérieur à l’atteinte de la halte finale qui ne manquerait pas de m’assister automatiquement au ralentissement devant toute douane, et ce tout, particulièrement derrière la douane suisse. Faut-il suggérer que là désarmée, j’accélérai ? Car il n’était pas encore question de s’arrêter pour finir dans le décor… mais plutôt d’une nécessaire reprise en main pour ne pas avoir à se laisser supplanter sur le mol ,mais être, toute entière au tracé d’une issue qui me laissa sans voix la vive allure qui fût la mienne. Ailleurs,qu'était ce quelque chose en travers sur le bord des lèvres? La moue mouvante passant de möl en mue comme la sinueuse et haute portée d'un goût ferme pour la lutte?
vero et moi on etaient un peu inquiete ces derniers temps car plus de patrick au canal??
mais je vois que tout va bien
bravo pour ta course difficile de se voir parmis tout ce monde
A tres bientot
Bérengère
En fait Patrick canalise régulièrement mais pas tellement en semaine car les jours sont trop courts... Merci pour les félicitations,venant de spécialistes...
Merci aussi à Cathy (un temps canon I presume ?), à Sami et à Cléo.
Alain hélas c'est à l'inverse qu'il faut prendre la liste...
Je suis mortifiée, j'aime beaucoup le T-shirt de cette année (je vais me consoler en me disant qu'il est un peu bling bling?).
bravo à tous en tout cas!
C'est vrai qu'il est beau le T-shirt de la dixième édition. Je me demande si je ne vais pas le piquer à Patrick...
Moi je le trouve tellement pas beau que j'ai pris la taille pour MaDame qui le trouve très bien. Conclusion c'est un tee-shirt de filles.
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