Au stand de l'UNSA
Aujourd’hui, magnanime (!), je laisse mon emplacement en G1à un certain… Michel Onfray pour rejoindre Rémy et Snéjana au stand de l’Université. Celui-ci, comme d’habitude, est le lieu d’exposition de l’ensemble des ouvrages, scientifiques ou non, écrits par les universitaires niçois. Du coup, l’atmosphère qu’il génère est nettement plus intellectuelle que celle des stands bling-bling des auteurs-vedettes. Et je ne sais si c’est à cause de cela, mais nous eûmes du coup l’honneur d’une visite (rapide) d’un Claude Allègre tout sourire.
Si la matinée fut un peu alanguie sous un soleil vraiment estival, l’après-midi se révéla encore plus frénétique que la veille. Replacé en G1 en fin de journée, je fus même plusieurs fois débordé par les demandeurs de dédicace… et les questionneurs politiques.
De retour au stand de l’UNSA pour le traditionnel rosé de fin de Festival, nous faisons le constat avec les collègues que la manifestation niçoise, par sa situation géographique, sa gratuité et la simplicité de son concept est véritablement populaire. Comment penser le contraire en me remémorant le visage des centaines de personnes connues ou inconnues avec lesquelles j’ai échangé ne serait-ce que quelques mots pendant ces trois jours ?
A côté de Jean des Cars
2 commentaires:
En effet le Festival du livre est une réussite..Il était très difficile d approcher les écrivains.
Mon seul regret c est que tu n es pas eu un nouveau livre a nous proposer..Faut donc attendre l année prochaine,mais je viendrai a l ouverture,car il faut bien le reconnaitre tu es aussi populaire en politique qu en tant qu écrivain..
J espère que tu es déjà en train de nous concocter un chef d œuvre.
Je te laisse a ton ouvrage..
Le livre, objet populaire qui attire les foules, ça c'est une super nouvelle.
Peut-on dire que Allègre ment sur les origines et les causes du réchauffement climatique ?
Ouais je sais elle super facile celle là...
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