De mon poste d’orientation favori (Populaires sud, virage est), j’assiste pour la troisième fois de l’année 2006 à la victoire du Gym sur une grosse cylindrée de la Ligue 1 : Monaco, après Bordeaux et le PSG.
Pas de doute, cette année, nous tenons « l’équipe ». Le recrutement, y compris au mercato (David Bellion), a été judicieux, Antonetti dirige l’équipe efficacement, et l’esprit à la Cobos hérité du miracle de l’été 2002 fait toujours des merveilles…
On peut même avancer qu’avec un peu plus de réussite en début de saison, le Gym pourrait se battre à armes égales avec les équipes qui visent l’UEFA, voire la troisième place de Champions league. Cela dit, en étant finaliste de la Coupe de la Ligue, les Aiglons n’ont pas dit leur dernier mot en ce qui concerne l’Europe (je ne parle pas de la déprimante coupe Intertoto).
Ce soir, en suivant la prestation navrante de la Principauté, le fidèle lecteur de l’Equipe que je suis ne peut que constater avec un certain amusement que le volume de littérature "dostoïevskien" dont bénéficie le trio des équipes de pseudos stars (ou les pseudos équipes de stars) est inversement proportionnel à leurs résultats et à la qualité de leur jeu.
Face à ce parti pris médiatique, le roi Lyon lui-même a dû attendre deux ou trois titres avant d’intéresser vraiment les journalistes…
Cela dit, en bon supporter des Rouges et noirs, je préfère, à tout prendre, qu’on parle peu du Gym mais que celui-ci se bâtisse un palmarès digne de l’équipe de Juninho. On peut toujours rêver...
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