L’émotion est forte, d’autant plus forte que Dominique retrouve, sur la plaque commémorative des victimes niçoises de la Shoah, le nom de son arrière-grand-mère, Flora Lattès. La barbarie nazie (je ne dis pas allemande) et la folie islamiste (je ne dis pas musulmane) ont ainsi assassiné, à quelques soixante années d’intervalle, deux Niçoises très différentes mais qui avaient un point commun : elles étaient juives.

Face à ce constat implacable mais lucide, implacable parce que lucide, on peut saluer l’humanité du grand rabbin Shoushana, lorsqu’il a conclu son sermon lundi soir en rappelant que le vrai héros est celui qui fait de son ennemi un ami. Sans écouter sa colère.
3 commentaires:
Unz triste histoire qui me touche bcp, mais il serait temps que l'état d'Israel comprenne qu"il est impossible de brimer un peuple, les palestiniens ont le droit à un état, j'espère que celui-ci viendra à terme en mettant la fin fin entre deux peuples qui ont en commun un même Dieu et une même terre, voire une même histoire
Serge
un peu mystique comme texte ca fait peur. de plus on a l'impression qu'il n'y a que les juifs qui sont susceptibles de mourrir pour ce qu'ils sont. marek haltre defend (mal) les juifs en tenant des proposr racistes; ne te laisse pas embarquer Patrick!!!
@ l'anonyme
Il n'y a sans doute pas que les Juifs qui sont tués pour ce qu'ils sont, mais il faut bien reconnaître que ceux qui se sont attachés à les exterminer au cours des siècles et ceux qui, aujourd'hui, n'hésitent plus à exprimer leur antisémitisme, fut-ce sous le couvert bien commode de l'anti-sionisme, montrent une constance sans égal.
Et puis, ce besoin, chaque fois que se produisent des crimes antisémites, de mettre sur le tapis le conflit israelo-palestinien, comme si cela pouvait tout justifier...
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