Ce soir, à Acropolis, grand meeting socialiste avec le Premier secrétaire, François Hollande himself. Ne figurant pas parmi les orateurs de la soirée, je peux donc observer avec un certain recul, les prestations de mes congénères. En réalité, cette soirée intervient un peu trop tôt, chacun ayant le regard dirigé vers la désignation du candidat en novembre. D’où une salle à la fois bien remplie mais plutôt tiède dans ses réactions.
Après une petite intervention de l'animateur du MJS sur le thème « Le projet avant tout, le candidat, ce n’est pas important », Paul Cuturello se livre, sur le même thème, à un certain nombre de figures imposées, avant de se lancer dans une analyse documentée et brillante sur le logement retrouvant à cette occasion son allant du Conseil municipal.
Patrick Allemand lui, a fait la démonstration que son imprimante fonctionnait mal, puisque, à l’évidence, une ligne de son discours a sauté… celle où, dans sa longue démonstration sur les progrès de la gauche à Nice, il devait sans aucun doute parler des élections municipales de 2001 et du score historique de Nice plurielle… ! Cela dit, le discours était plutôt rigolo surtout quand il a évoqué les tongs et les préservatifs de l’UMP.
François Hollande, quant à lui, fonction oblige, reste très prudent sur la question présidentielle, voire même sur nos propositions. Il ne développera que la CPU (couverture professionnelle universelle) et l’allocation d’autonomie pour les étudiants. En fait son discours consiste avant tout à critiquer la droite avec talent. A l’évidence, il connaît son sujet et les dernières aventures de Sarko sont passées au peigne de son humour corrosif. Mais on sent bien que le grand discours, ce sera au candidat à la Présidence de le prononcer. Sur ce qu’il a dit ce soir, il ne semble pas considérer qu’il puisse être ce candidat-là. Malgré les encouragements de Frédérique Grégoire, le comparant à la fois à Jaurès, Mendès France et François Mitterrand… Excusez du peu…
Finalement, seule Dominique (Boy-Mottard), peut-être parce qu’elle n’a pas d’obligations institutionnelles, dénonce l’histoire limite "bibliothèque rose" qui consiste à voir notre candidat mener campagne avec les seules écritures saintes du projet. Elle rappelle d’abord qu’il y en a forcément plusieurs lectures, que, par exemple, mettre en avant le pouvoir d’achat ou la sécurité, ce n’est pas tout à fait la même chose. Ensuite, elle insiste sur le fait que le document est très faible sur des sujets essentiels, sur lesquels le candidat sera fatalement interpellé. Elle cite l’avenir des retraites, celui de la sécurité sociale, l’Europe, et son corollaire, le rééquilibrage nord-sud.
« Notre candidat devra aller au-delà de ce qui figure aujourd’hui dans notre projet. C’est indispensable si on veut éviter d’être confronté plus tard au syndrome de Budapest. Ce n’est pas parce que les manifestations actuelles en Hongrie sont inspirées par les nationalistes, qu’il ne faut pas retenir le message. Il s’agit moins en l’espèce de promesses non tenues que de remèdes qui n’ont pas été annoncés à l’avance. Tout le monde sait bien que ces remèdes sont indispensables et qu’il n’y aurait rien de pire pour le peuple hongrois que de voir les socio-démocrates écartés du pouvoir ; mais on le lui a caché. Nous devons toujours avoir à l’esprit – et notre candidat avec nous – que les peuples sont adultes et qu’ils ont le droit de savoir ce que nous avons l’intention de faire. Parce que mentir par omission, c’est encore mentir. Donc, notre candidat devra préciser notre projet, notamment sur ces questions-là » (…).
« En clair, j’attends du prochain Président de la République qu’il fasse des propositions précises et qu’il lance une politique permettant le développement des pays du Sud. Il y a des tas de bonnes raisons à cela, mais il en est une essentielle. Nous devons le faire parce que c’est juste.
C’est juste parce qu’on ne peut plus tolérer la misère qui pousse les Africains à se heurter au détroit de Gibraltar.
C’est juste parce qu’on ne peut plus tolérer que des hommes meurent noyés au large des côtes italiennes.
C’est juste parce qu’on ne peut non plus admettre que des hommes, des femmes, des enfants soient traités comme ils l’ont été ces derniers jours à Cachan ».
Quand Dominique conclut en disant « Chers amis, chers camarades, un autre monde est sûrement possible. Peut-être même souhaitable. Mais la politique, c’est, avant tout, régler les problèmes dans un monde réel, pas dans un monde utopique. C’est bien pour cela que nous serons tous, dans quelques semaines, rassemblés derrière notre candidat. Avec une grande ambition : rendre un peu meilleur le monde réel », j’avoue que je suis assez fier de notre candidate dans la deuxième circonscription.
Et quand, en sortant du meeting, François Hollande me dit gentiment « Patrick, tu sais, nous avons des femmes de talent », ajoutant « Mais on ne s’en plaint pas », j’acquiesce non par convenance mais par conviction.
24 septembre 2006
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24 commentaires:
J'étais là, j'ai tout vu, tout entendu.
Dans ton résumé de cette soirée cher Patrick tu as oublié Monsieur Loyal, une prestation de comique, peut être, une intervention politique, j'en doute...
Après François, Dominique était de loin la meilleure, souhaitons que les électeurs de la 2ème partage mon avis.
Claudiogene, il me semble que vous abandonnez votre prudence légendaire... ce qui n'est pas pour me déplaire. Pour tout vous dire, je redoutais une nouvelle intervention sur le syndrome de Colombo !!
Eric, tout à fait d'accord avec toi sur les compagnons (je ne développe pas car ça va finir par faire gnangnan...!).
A propos de mes questions, j'attends du futur candidat qu'il ait le courage d'apporter les réponses (au moins quand il sera désigné...). Cela me semble nécessaire pour ne pas injuriier l'avenir, surtout si l'on considère, comme l'a rappelé François Hollande, que nous voulons revenir à la tête du pays et nous installer dans la durée (à la manière des socio-démocrates suédois) afin de pouvoir mener réellement à bien nos politiques.
Cher Patrick, en citant Dominique, qui a fait en effet un très bon discours,tu écris "mettre en avant la sécurité ou le pouvoir d'achat, ce n'est pas exactement la m^me chose", sauf si les deux font partie du projet socialiste,et qu'il n'y a pas lieu de hiérarchiser, car si j'ai un peu plus de pouvoir d'achat, mais que ma voiture brûle, je reste un peu plus pauvre, comme avant, et ce n'est pas avec 100 euros tout de suite que...amitiés
Patrick, dans ton compte-rendu de la soirée, tu as oublié de relever que François Hollande a regretté son erreur de ne pas avoir cru à une victoire possible sur Nice en 2001 (lui au moins en a parlé...).
Patrick tu écris sur ton blog à propos du discours de PA "son imprimante fonctionnait mal, puisque, à l'évidence, une ligne de son discours a sauté".
Fasciné par ta femme ( au moins par son discours), tu as très peu écouté les
autres car tu te serais facilement aperçu (comme un grand nombre de militants de tous courants qui sont venus me le dire) que son imprimante est beaucoup plus endommagée que ce que tu crois et qu'il faut qu'il la change impérativement d'autant qu'il n'est pas le seul à l'utiliser. En effet, j'espère que tu as remarqué ce passage laborieux où Monsieur Loyal a
fait appel au miracle pour expliquer la victoire de Dominique dans le 7ème canton. Je partage le point de vue de François Hollande sur le talent de
Dominique, je sais qu'elle était entourée d'une excellente équipe (où j'ai tenu ,avec un grand plaisir, ma modeste place), je n'ignore pas son incroyable pugnacité et sa légendaire détermination, mais soyons sérieux, tous les politiques (de tous les bords), tous les observateurs (journaux,
télévisions...), mais aussi les simples citoyens et électeurs ont vu dans cette élection un combat entre MOTTARD et PEYRAT et donc la victoire de Patrick MOTTARD sur Jacques PEYRAT . En politique, si l'on veut gagner, il faut faire des analyses sérieuses et ne pas confondre CIMIEZ avec LOURDES, ni se
prendre pour Bernadette. Je pourrais continuer ce type d'analyse des discours de la soirée ( mais je ne veux pas jouer les Umberto ECCO de
province). Pour faire court, je dirais que les précautions oratoires évidentes des uns et des autres, la diplomatie gênée de notre Secrétaire
National et les circonvolutions nombreuses et maladroites de certains pour taire ton nom et le rôle que tu joues dans le combat contre PEYRAT ont eu
l'effet contraire. Tu étais en permanence présent dans l'esprit de tous, y compris dans celui de tes adversaires, et cela s'entendait et se voyait
(même par ceux qui ne sont ni spécialistes de sémantique, ni de sémiologie). C'est pour cela aussi que j'ai passé une agréable soirée.
Henri COTTALORDA .
pas pu venir, je le regrette, j'aurais bien voulu écouter le discours de Dominique dans son intégralité...
On a aussi remarqué que pendant le discours de Patrick A., Dominique B-M. devait avoir mal aux bras, au point de ne pouvoir applaudir une seule fois.
François H. a eu beau dire que les combats internes à Nice étaient de l'histoire ancienne, personne n'est dupe.
Et c'est bien triste pour la gauche.
Continuez comme cela, et vous ferez fuir les nouveaux adhérents dont le parti a pourtant besoin, bien au delà des prochaines échéances.
Continuez comme cela, et vous assurerez la réelection de Peyrat en 2008.
De plus, s'il vous plait, ne confondez pas un blog avec un journal intime. Si vous avez des reproches à vous faire, discutez-en en réunion interne. Pas sur la place publique. Encore moins à la tribune en compagnie de François Hollande.
Merci !
les absents ont toujours tort. je suis certain que Dominique a du faire un "tabac" et je me rejouis de son succès.
A bientôt et grosses bises à vous deux
Gilbert
Michelb
Vous avez pu noter que je n'ai pas systématiquement applaudi toutes les remarques des intervenants. J'ai davantage le souci de faire en sorte qu'un meeting soit utile plutôt qu'une grand'messe. Question de tempérament.
Michelb,
Avec ce blog, je suis au delà ou en deça de l'exercice de mes mandats. J'entends lui donner le ton que je souhaite. C'est ma liberté. La vôtre est de ne pas le lire.
Cher Patrick,
Ashérent à 20 euros, c'était la première fois que j'assistais à une réunion de ce genre. J'ai été emballé? Malgré les luttes locales internes (j'analyse de très près les problèmes locaux), j'ai trouvé que celles-ci s'estompaient un peu dans une bonne humeur générale. Il se dégageait un optimisme agréable. Dominique a été pleine de finesse et de volonté, Paul a été technique, à la limite de l'emmerdant mais c'est son rôle, Allemand a été meilleur orateur que je ne le pensais. Mais Hollande a écrasé tout le monde. Le "jeune" des JS a été bon mais un peu près du guidon. Tout ça vous rend optimiste d'autant que la salle était pleine. Alors courage.
Non, Michelb,je suis nouvelle adhérante, j'ai l'intention de voter pour la gauche au niveau local et national. Les "combats internes" ne me décourageront pas (et puis j'ai le droit, comme les autres militants d'avoir mes préférences!)
Chers amis réacteurs ,
Comment avez vous fait pour y assister.Nouvel adherent depuis le début de l'année,j'ai bien été recu par la fédération dans son opération accueil nouveaux adherents?Et là pas de courriels pas d'info_invitations.Il est vrai que je n'ai toujours pas ma carte.
Alors comment voter dans ces conditions d'ignorances quand vous n'etes pas sur les rangs de l'assistance.....Cela étant ce rassemblement devait etre tres motivant,je n'en doute pas.
Salutations et corrections attendues pour la section et la Fédé.
Merci pour votre attention.Bien cordialement.
Autrebord,
Pour la carte, ce n'est pas un problème : le National PS est apparemment débordé et nous n'avons pas les cartes 2006... Mais l'important est d'être bien inscrit sur les listes et de se présenter à sa section.
Vous pouvez m'envoyer un mail (boymottard@free.fr) avec vos coordonnées et la section à laquelle vous avez été rattaché (en fonction de votre domicile en principe) et on pourra voir ce qui ne va pas.
Encore un unanime plébiscite pour Patrick Mottard !
Il ne manque plus que les choeurs de l'armée rouge et ce blog pourra concurrencer les anciennes célébrations staliniennes.
ras c'est pour "rien à signaler"? ça vous va bien.
Cher Patrick Mottard,
Je me suis permis, une fois l'esprit plein de toutes ces belles discursivités et l'estomac en paix avec les sollicitations de la faim, de féliciter Dominique au nom de ma section cannoise, et bien sûr en mon nom propre qui faisait de moi un messager sans risque.
Il faut dire que les rénovateurs, pris dans l'angle mort du rétroviseur socialiste, pour sortir de l'oubli s'obligent parfois à parier sur l'intelligence plus que sur la tactique. Je m'honorais jusqu'à présent d'avoir choisi ce label progressiste, à la résonnance B.T.P., quand une décision de mon chef de chantier d'engager l'ouvrier que j'étais vers une rénovation de façade m'oblige aujourd'hui à une plus grande conscience professionnelle qui s'exercera bientôt sur d'autres échafaudages.
Et pour commencer aujourd'hui mon entraînement de conscience, je voudrais reprendre, par un coup de truelle, un point du discours de Dominique qui ne me semble pas faire joint avec l'idée que je me fais de l'idéal socialiste.
Comme dans le B.T.P. on y va jamais de main morte, voilà donc brut de décoffrage le joint défaillant : "rendre un peu meilleur le monde réel".
Bien qu'ayant trop souvent à mon gré le nez collé au mur, il me semble toutefois qu'à m'en éloigner un peu, le "réel" du monde en question ne se laisse pas entrevoir aussi facilement. Pour ne pas qu'il me fasse revenir au pied du mur avec une trop grande brutalité, je souhaiterais lui donner la consistance à laquelle il tente en permanence d'échapper.
Mis à part le fait que ce "réel" puisse se déguiser des atours de "l'impossible à dire", optons pour le fait d'une visibilité qui le rapprocherait de la "réalité", concept de plus grande proximité, si j'ose dire.
La réalité du monde, donc, se laisse massivement et historiquement saisir comme le cheminement progressif d'une idée de classe sur le monde, de la classe bourgeoise des origines à la classe du pouvoir (pouvoirs multiples : financiers, mafieux, spéculatifs, médiatiques, globalistes, libre-échangistes, libéraux, etc etc) de notre actualité. Autant dire que la réalité du monde orchestrée par cette classe du pouvoir hybride revêt pour le coup les atours d'une unité, insupportable et de mauvaise cohérence certes.
C'est là précisemment que le joint, "rendre un peu meilleur le monde réel", blesse. Car je ne vois pas comment, sauf à vouloir devenir des "ultras réformistes" qui feraient la nique aux "ultras libéraux" et alternativement, il pourrait venir, ce joint, structurer une vision du monde socialiste.
Tout cela pour dire si peu, me diras-tu ? Et je n'aurai que le silence de mon métier pour justifier cette logorrhée...
avec ma sincère amitié.
Michel Gros
on peut dire aussi: de ras on en a
Rien à Secouer!
N'en déplaise aux pseudos pelerins,
le 7em canton de Nice n'est pas le nouveau lieu à la mode dans lequel un miracle se serait produit, ou l'esprit saint de la gauche serait apparu tel l'archange terrassant l'UMP.
Penser et dire cela, c'est s'offrir à bon compte une illusoire analyse politique d'arrière boutique.
Point de miracle donc à l'election de Dominique comme on a pu l'entendre.
C'est un canton qui était traditionnellement classé à droite, et jugé imprenable pour la gauche.
Or, c'est la force de persuasion, la conviction, la pugnacité, l'écoute, la patiente, la proximité et la présence sur le terrain, l'honneteté des convictions et de l'engagement, la combativité, et bien d'autres choses encores qui ont permis à Dominique de l'emporter par l'adhésion à sa personne et aux idées qu'elle incarne plus que par le rejet de son adversaire.
Le fait également de porter le nom de Mottard à fait que, comme l'analyse très justement Henri, la balance a finit par pencher du bon côté pour la gauche mais aussi et surtout pour les habitants du canton.
Evidemment, je suis un proche de Dominique (juste sur le plan politique) et d'aucuns peuvent penser que je met mon jugement à sa solde pour lui tresser des colliers de louanges, mais à la lumière de son discours prononcé samedi soir, à la justesse de ses propos sur l'analyse de la politique européene, le réequilibrage Nord/Sud en matière de développement, la misère des clandestins, tous ces sujets aussi importants, loin, très loin des basses polémiques, et sur lesquels nous devons tous nous sentir concernés, je suis certain que la majorité de ceux qui étaient présents ce soir là doivent partager pour une bonne part l'idée que je me fait d'elle.
Lors de cette soirée, quelque chose d'inattendu était aussi présent, une présence particulière, flottant dans l'atmosphère et entre les lignes du discours de notre 1er secretaire fédéral.
Cette présence dont nous avons tous sentit le souffle nous froler etait le fantome de mars 2001.
Esperont que les tourments de ce fantome seront apaisés en 2008 avec l'aide du national qui, comme nous l'avons tous entendus de la bouche de François Hollande, saura se mobiliser (et pour la bonne personne) le moment venu afin de pallier à sa carence de 2001.
ANTONIN
Ce n'est vraiment pas mon avis. Je trouve que ça dérape assez peu compte tenu de ce qui se passe sur la toile ou ailleurs. Et je trouve que Mottard a beaucoup de patience...
Vous savez, quand les membres d'un parti s'engueulent et se font des coups bas, l'opinion dit "y en a marre, ils ne font que se disputer". Lorsqu'ils s'embrassent ou font mine de s'entendre dans un "tout le monde il s'aime, tout le monde il est uni", l'opinion dit: "ils sont faux-culs et ils n'ont pas de fond politique".
Alors moi je crois que l'important c'est le fond, c'est ce que l'on défend jour après jour et pas seulement dans ses discours, ce sont des principes politiques, mais aussi, c'est démodé je sais, des principes moraux.
Comme Muriel, je trouve que Patrick Mottard a beaucoup de patience. Parfois je me dis qu'il en a trop mais il a sans doute raison, c'est sans doute très bien comme ça. Mais, cher niçois civique, lorsqu'il arrive des choses inacceptables au sein de notre parti, je n'accepterai pas, à titre purement personnel, que l'on me fasse du chantage à la "mauvaise image du parti". Je pense justement être aussi civique que vous, justement à cause de cela. A bon entendeur.
Non mais ça c'est un peu fort! Ou est-ce que je t'ai agressé exactement?? (je commence sérieusement à en avoir plein les bottes des susceptibilités exacerbées en tous genres, on doit être lisse, absolument lisse).
J'ai simplement dit que je trouvais extrêmement énervant de s'entendre systématiquement critiquer lorsqu'on "osait" parler de dysfonctionnements manifestes à l'intérieur du parti, surtout lorsque notre prise de parole faisait suite à de précedents déballages sur la place publique qui n'étaient absolument pas de notre fait!!!!!
C'est trop facile de demander qu'on tende systématiquement l'autre joue à la fin.
Salut Clotilde,
Ne t'énerve pas.
Tu sais bien que la blogosphère est remplie de gens sucetibles.
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