17 juin 2011

Festival du livre (1) : le retour de Memona

Avec Mémona Hintermann

Lorsqu’à la mi-journée je prends possession de mon stand dans l’espace G1, je me dis avec une certaine fierté que j’entame là mon cinquième Salon du livre (le troisième ici à Nice et deux chez les amis de Mouans-Sartoux).

J’aime l’atmosphère de ces petites républiques éphémères que sont les Salons. On y tisse des liens très forts avec des auteurs qu’on ne reverra pas avant de longs mois et même parfois jamais ; mais la sincérité du moment est réelle.

C’est ainsi qu’à ma droite je retrouve avec plaisir ma voisine de Mouans-Sartoux en octobre, la journaliste de France Télévision spécialisée dans les grands reportages, Memona Hintermann. Une compagnie de choix car la dame est sympathique et, en conversant avec elle, on peut glaner les dernières nouvelles en provenance de Libye ou de Syrie.

Cette année, mon plaisir est grand dès cette première demi-journée car j’ai trois livres à présenter au public ce qui, dans mon esprit, atténue un peu la frustration des années précédentes quand, devant un ouvrage unique, je côtoyais des auteurs paradant devant cinq ou même dix titres différents.

L’effet cantonal joue aussi à fond et les autres auteurs souvent étrangers à Nice s’étonnaient du nombre de personnes s’arrêtant à mon stand pour me saluer, me féliciter ou prendre une photo à mes côtés.

Ce sera donc le sourire aux lèvres qu’en début de soirée je quitte la manifestation pour rejoindre la colorée et joyeuse fête de fin d’année de l’école Thérèse Roméo où m’attend, merguez au poing, la famille Delansey.

PS : le Festival du Livre continue samedi et dimanche de 10 heures à 19 heures au jardin Albert 1er.

Avec Jean et Rosemarie Montoya

3 commentaires:

Emmanuel a dit…

Je suis content de voir que le livre et l'Ecole demeurent des valeurs importantes pour notre société et pour toi. Ceci, à une époque où les mirages de la technologie, avec tous ces objets magiques que sont I phone, I pod et pad et autre réseau pseudo social attirent les gens comme la lumière attire les éphémères la nuit pour........ les faire mourir.

bernard gaignier a dit…

Et tu écris quand le quatrième???

Anonyme a dit…

de gerard lesne a johnny...............